Une tentative d’explication par l’épistémologie.
Le terme « science » désigne deux choses différentes : les connaissances scientifiques, d’une part, et la recherche scientifique, d’autre part.
Lire la suiteUne tentative d’explication par l’épistémologie.
Le terme « science » désigne deux choses différentes : les connaissances scientifiques, d’une part, et la recherche scientifique, d’autre part.
Lire la suiteIl y a un peu plus d’un an j’ai écrit un long article intitulé « à quoi sert la sociologie ? » qui traite de sciences sociales en général et de sociologie en particulier, et essaie de défendre la scientificité de la sociologie. L’objet de cet article est de développer ce point de vue en se concentrant, cette fois, sur l’économie. Il sera complémentaire d’un autre article sur le même thème, que j’avais écrit en conclusion d’une série sur l’histoire des courants économiques, consacrée à l’économie contemporaine et où je digressais sur la scientificité de l’économie.
Lire la suiteEn mettant en évidence les limites intrinsèque de la science et en montrant l’impossibilité pour le matérialisme d’expliquer le fonctionnement concret de l’être humain, ne risquons-nous pas, à défaut de retomber dans le relativisme épistémique déjà réfuté, de favoriser la superstition ? En particulier, qu’est-ce qui permet de dire que certaines croyances –invérifiables– sont farfelues et stupides (par exemple, croire aux licornes roses invisibles), tandis que d’autres, tout aussi invérifiables, seraient intéressantes voire rationnelles (par exemple, croire en Dieu) ? C’est toute la question de la différence entre religion et superstition. Lire la suite
Que répondre à ces deux dérives que sont le scientisme et le relativisme postmoderne ? Au fond, des choses très simples, même si on peut y consacrer quelques longueurs. Lire la suite