superstition
Science, mythe et religion : des usages de la Raison (3/3)
En mettant en évidence les limites intrinsèque de la science et en montrant l’impossibilité pour le matérialisme d’expliquer le fonctionnement concret de l’être humain, ne risquons-nous pas, à défaut de retomber dans le relativisme épistémique déjà réfuté, de favoriser la superstition ? En particulier, qu’est-ce qui permet de dire que certaines croyances –invérifiables– sont farfelues et stupides (par exemple, croire aux licornes roses invisibles), tandis que d’autres, tout aussi invérifiables, seraient intéressantes voire rationnelles (par exemple, croire en Dieu) ? C’est toute la question de la différence entre religion et superstition. Lire la suite
Science, mythe et religion : des usages de la Raison (2/3)
Ni scientisme, ni relativisme
Que répondre à ces deux dérives que sont le scientisme et le relativisme postmoderne ? Au fond, des choses très simples, même si on peut y consacrer quelques longueurs. Lire la suite